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12 janvier 2011 3 12 /01 /janvier /2011 19:28

Une fois de plus, la sinistre unité d'élite de Paul Biya fait parler d'elle. Dimanche dernier, un élément de cette unité appelée BIR (Bataillon d'intervention Rapide) a fait parler de lui en tirant  à bout portant sur un simple camerounais qui a eu la mauvaise idée  ou la malchance de se trouver sur son passage. Comment comprendre donc qu'une unité qui a été crée, à en croire à son géniteur Paul Biya, pour combattre les coupeurs de route au nord et ailleurs se retrouve aujourd'hui à circuler dans la ville armée jusqu'aux dents pour faire des contrôles de véhicules.

Soit le Cameroun est en guerre, mais contre qui? Contre quel  pays? Soit les policiers et gendarmes du Camerounais sont des imbéciles qui touchent des traitements inutilement. Mais je préfère ne pas croire en cette hypothèse car depuis des lustres, ces deux corps existent et ont préservé la sécurité publique.

Dans ce cas, il faut voir en ces manœuvres de Paul Biya une autre manière d'asseoir sa dictature ignoble. Les militaires sont supposés rester dans leur caserne et défendre le pays en cas d'attaque extérieure ou encore en cas de situation périlleuse. Mais jusqu'ici le Cameroun n'est pas en guerre, et la sécurité publique n'est aucunement menacée en ce moment. visiblement Paul Biya et son gouvernement sont complément à la dérive. Car envoyer des militaires d'un corps dit d'élite en route pour massacrer ses propres compatriotes n'est rien d'autre qu'une preuve s'il en fallait encore que le Cameroun tourne définitivement vers une dérive autocratique et dangereuse.

On a cru que,  ce que ces militaires avaient déjà en fin février 2008 suffisait pour dissoudre cette unité qui loin de servir le Cameroun est devenue un nid de bandits, un vivier de brigands qui volent pillent, violent, braquent et commettent les forfaits en tout genre.

J'espère comme tous les camerounais d'ailleurs que cette nouvelle preuve de leur bestialité et de leur brutalité qui décrivent parfaitement le machiavélisme de Paul Biya convaincra ceux qui en doutaient encore de la nécessite de dissoudre cette macabre unité de l'armée et de leur retirer les pleins pouvoirs qui leur ont été attribués.

Il est temps de dire non à ce type et à son pouvoir, à son gouvernement obscur et sans avenir pour notre beau triangle national.

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12 janvier 2011 3 12 /01 /janvier /2011 19:26

Dans une information parue dans les colonne de la presse madrilène ( Marca) et relayée par la presse mondiale (rfi, France football, cameroun infos....), Javier Clémente, ancien entraîneur de l'athletico bilbao et de la sélection espagnole de 1992 à 1998 aurait signé un contrat de deux ans avec le Cameroun. Si pour l'instant, cette information n'a pas été officialisée par les autorités footballistiques du Cameroun. Tout porte à croire qu'elle soit exacte. Une fois de plus c'est nouvel échec des autorités sportives du Cameroun. Un vrai coup de pied au nez pour les anciennes valeurs du football camerounais telles que Joseph Antoine Bell, François Omam Biyick, Jacques Songo'o, Jean Paul Akono, Thomas Nkono ou encore Ngweha Ikouam....

Car, après les mésaventures que l'équipe nationale du Cameroun a eu avec Paul Le Guen pourtant choisi par le président de la république en personne et désormais entré tristement dans l'histoire du football camerounais, l'on aurait pu croire que les leçons ont été tirées et que le moment est venu de faire confiance aux anciennes gloires du football camerounais et surtout de leur donner des moyens pour mettre en place une équipe digne du Cameroun. Surtout que nous ne cessons de danser la sarabande du cinquantenaire de notre indépendance.

Quand on sait ce que cet entraîneur pense de Samuel Eto'o et des déclarations qu'il a eu à son égard, il est à craindre du climat qui pourrait régner dans cette équipe les jours à venir, surtout que le leadership d'Eto'o dans l'équipe nationale semble ne pas être érodé, malgré la déconfiture Sud africaine. L’on peut aussi se poser des questions sur la connaissance de monsieur Clemente de l'Afrique.

Dans tous les pays du monde, (je veux parler des pays normaux) les sélections nationales, comme les instances fédérales du football sont tenues par les anciennes gloires, mais chez nous, c'est comme si nous étions atteint du syndrome de la méconnaissance des valeurs nationales et allons toujours chercher des gens venues d'ailleurs, qui ne connaissent parfois, ni nos valeurs, ni coutumes, ni nos réalités.

ils peuvent essayer ou faire semblant de s'intégrer, la réalité jailli bien vite qu'on ne l'imagine et les espérances des camerounais s'estompent bien vite. le pire est que la plupart de ces entraîneurs venus d'ailleurs ont les mêmes diplômes et parfois les mêmes profils que nos anciennes gloires. C'est donc légitimement que nous pouvons nous poser des questions sur les réels aspirations de ces gens qui gèrent nos institutions. Car depuis 1950, date création de l'équipe nationale du Cameroun, les entraîneurs camerounais n'ont cessé d'être des éternels adjoints des occidentaux dont parfois, certains n'ont aucune référence footballistique.

S'il est vrai qu'on peut reprocher à Jules Nyongha d'avoir lamentablement échoué à la coupe d'Afrique en Afrique du Sud, on doit aussi reconnaître que Jean Paul Akono avait gagné avec maestria les jeux olympiques en terrassant le très glorieux Bresil. 

Alors l'heure est certainement venue pour nous africain en général et camerounais en particulier de prendre en main notre destin, de faire confiance à nos gloires, de leur confier nos équipes nationales tout en leur donnant des moyens pour arriver à des résultats certains. L’heure est venue pour nous de nous dépenser de ce 'besoin de se faire dompter".  Les statistiques de la FiFA sont claires, aucun pays au monde n'a gagné la coupe du monde avec un étranger à la tête de sa sélection nationale, cela dit, si le Cameroun espère bien figurer dans cette messe planétaire du football, il est temps de se dépenser de cette idée selon laquelle,  ce n'est qu'avec des occidentaux qu'on peut gagner de voir la vérité en face. De rompre avec cette tradition de la recherche du meilleur ailleurs.

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12 janvier 2011 3 12 /01 /janvier /2011 19:24

LE SANCTUAIRE


Il dispose au Palais d'un sanctuaire, et d'un sanctum. Le
sanctum lui est très personnel. Personne d'autre n'y accède.
Mais, on sait qu'il y vit un très vieil homme, sans âge.
Certainement moins âgé que Dieu, mais d'un âge qui ne saurait être défini dans le temps. Cet homme, vêtu tout de blanc, a lui-même la peau blanche. Il ne parle à personne, peut-être seulement à Paul Biya, ne mange rien, ne boit rien, ne se lave même pas. Mais, quand il lui arrive de sortir du sanctum du Président, il est toujours frais, propre, écarlate. Il se déplace lentement, brisé par le poids de l'âge, avec des cheveux très longs, fortement blanchis par le temps. Il paraît doux, faible, fragile. Son regard ne se pose que sur ce qu'il veut regarder. Et en fait, il n'a de regard que pour Paul Biya. Qui dit de lui avec beaucoup d'affection qu'il s'agit de son bon génie. Il a la particularité de ne se faire voir que de qui il veut être vu. Il s'agit d'un personnage extraordinaire, dont on ne sait concrètement quel est le rôle auprès du Président.
Le sanctuaire du Président, lui, est un tout autre lieu de travaux spirituels. Il y pratique des cultes, des rituels, et autres séances de sacerdoce auxquels il peut associer des personnes. En ce lieu se déroule des messes de toutes sortes, y compris des sacrifices humains. A titre illustratif, on y retrouve des crânes humains. Il s'en trouve même qui ont été ouverts, comme pour servir de calebasses. A l'occasion des séances de lymphophagie, c'est dans ces espèces de calebasses que Paul Biya et les autres communiants recueillent le sang qu'ils vont boire. Sang humain, sang de coq et sang de chat.
A la mort du Président Ahidjo survenue à Dakar, le chef de l'Etat, pour échapper à un maléfice du fait du pacte qui les liait et qu'il avait violé, a sollicité qu'on lui serve d'urgence su sang frais et des organes d'une jeune fille. Les services se sont alors déployés sur le campus de Ngoa Ekelle, où ils firent une victime : une étudiante succomba aux charmes d'une somptueuse Mercedes, et se laissa embarquer par le bel homme qui, au volant du fastueux engin, semblait se disposer à elle corps et âme, avec ses pimpantes allures de gentleman bourgeois. Tout ce qu'il y a pour séduire une jeune femme. La fille sera davantage curieuse et séduite lorsque son compagnon va lui proposer de l'emmener à la présidence où il vit et travaille. Il s'agit d'un endroit plutôt mythique, qu'elle n'avait jamais rêvé d'approcher, et qu'elle se contentait juste de contempler à la télévision. Pour une fois que l'occasion lui était offerte de fouler "le sol de Paul Biya", pourquoi y aurait-il à hésiter ?

Mais le rêve va vite tourner au cauchemar ; le bonheur de la découverte du palace présidentiel se transforme en la pire des horreurs lorsque la réalité va devenir précision dans son esprit : elle a été gentiment conduite dans un sanctuaire pour servir d'holocauste. Et à la place du don juan pratiquement volatilisé, elle se retrouve face à trois hommes vêtus comme des prêtres, avec en plus des cagoules recouvrant les têtes.
Ce ne sera pas un viol comme elle a dû l'espérer ; plus qu'un viol il s'agira d'un meurtre sacrificiel. Son cœur, son foie, son sang se retrouveront sur la table de Paul Biya, son Président, l'homme-lion.
Le 26 mai 1990, un parti se déclare à Bamenda : le Social Démocratic Front (SDF). L'armée intervient pour réprimer. Bilan officiel 6 morts. Paul Biya panique. Les Camerounais pourraient-ils se soulever contre lui ? Certes, le phénomène est général en Afrique depuis que le vent des libertés s'est levé à l'Est, emportant en Urss, le président Gorbatchev. Ce qui arrive aux autres doit-il forcément lui arriver ? Rapidement, il fait appel à ses proches et très vite, un mot d'ordre est passé.

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23 décembre 2010 4 23 /12 /décembre /2010 23:56

valsero.jpgLe Cameroun est résolument entré dans la macabre phase des assassinats politiques. Depuis peu, les opposants au régime, les journalistes de la presse privée et la plupart  de ceux qui dénoncent aussi bien les dérives autocratiques, la longévité néfaste de Paul Biya au pouvoir ou encore la pauvreté sans nulle autre pareille dans laquelle vivent les populations de ce triangle Africain voient de plus en plus leur vie sacrifiée.

S'il est vrai que cette mode d'opération qui consiste à tuer ou à essayer de tuer les opposants au régime pour décourager les esprits éveillés et assurer par là même un "no contest" de Paul Biya aux élections présidentielles était courante, il a pris ces derniers jours un sens tout à fait particulier. En six mois, nous avons vu mourir successivement Bibi Ngota, journaliste assassiné en prison pour avoir dénoncé dans une tribune la politique de paupérisation massive du gouvernement de Paul Biya. Pius Njawé, pionner de la liberté de la presse assassiné lâchement aux états - unis. Signe que personne de ceux qui ne soutiennent pas la "kleptocrate" institutionnelle du Cameroun n'est plus à l'abri, célèbre fut-il ou encore loin du Cameroun fut-il.

Alors se célébraient les obsèques de Pius Njawé dans son village natal à babouantou, c'est le jeune artiste Valsero qui se voit  précipité dans la foret par une grosse cylindrée de Yaoundé, pour avoir demandé au Président de répondre aux interrogations de la jeunesse camerounaise dans une chanson éponyme, "réponds monsieur le président".  Nul besoin de citer Lapiro de Mbanga, Paul Eric Kingue, Mboua Massok.... On aurait cru qu'après la sombre époque de l'avènement de la démocratie pendant laquelle maître Yondo Black, Ekane Anicet ou Henriette Ekwè ont fait la prison pour le seul fait d'avoir réclame le multipartisme était révolue. On aurait cru que cette époque où Samuel Eboua, Jean Jacques Ekindi ou Ben Decca avaient été flagellés pour avoir réclamé plus de liberté était révolue. Fort est de constater que nous régressons et traversons des contrées dont seule la nature saura nous indiquer la direction.

Jusqu'à quand la liberté et le droit des camerounais continuera t-il à être bafoués de la sorte? Jusqu'à quand continuerons-nous à subir ces humiliations.

Je garde l'espoir qu'un jour nouveau se lèvera pour les camerounais de tout horizon et que nous quitterons une fois pour toute cette mesquinerie, ce despotisme.....

 

 

Pius Njawé: Quand une mort devient l'objet de propagande politique.

Depuis la mort de Pius Njawé, plusieurs faits ne cessent d'alimenter l'activité et l'actualité des médias.

S'il est vrai que Pius Njawé, ponte de la presse privée au Cameroun et combattant infatigable de la liberté de la presse au Cameroun est décédé dans des conditions aussi atroces, brutales que surprenantes, l'on peut se poser la question aujourd'hui de savoir à qui profite cette mort? Ou encore pourquoi certaines personnes tentent de récupérer un évènement macabre pour justifier leurs sombres activités.

Après et avant les discours des obsèques, les uns aussi partisans, propagandistes, révoltes que parfois sans grand intérêt observés lors des obsèques de monsieur Njawé, la presse continue à s'alimenter par une sombre histoire d'un don de 10 000 000 FCFA du grand manitou du Rassemblement des Pilleurs Du Cameroun à la famille Njawé. Lequel don d'argent aurait permis au très sinistre Tchiroma de venir louer les qualités humanitaires de celui dont il était encore opposant hier. On a vu ce type à la parure d'un bouquetin venir gigoter dans sa gandoura sans aucun doute trop bien taillée pour un homme si négatif, à la télé pour faire cette macabre publicité du lion de mvomeka dans les antennes de la télévision. Comme quoi cette donation posthume est un signe  probant de la magnanimité et du souci de l'indépendance de la presse du prince. Comme si la famille Njawé n'était pas assez peinée comme cela par la mort de ce dernier, maintenant, ce sont des histoires de fils rejeté, de fils raté de la famille qui aurait perçu une partie de cet argent et en aurait utilisé à des fins personnelles. Je me demande jusqu'à quand les gens vont ils continuer à se servir de la mort de Pius Njawé pour satisfaire leur ego morbide. Honte à vous, bande de charognards qui ne reculer devant rien pour vous faire remarquer, pour faire de la récupération politique de tout évènement. On avait connu "zéro mort" aujourd'hui on peut croire qu'à côté de Tchiroma, "zéro mort" passe pour un enfant de cœur.

Quel Cameroun!

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23 décembre 2010 4 23 /12 /décembre /2010 23:51

Cameroun, propagation du virus du Sida.

 

J'ai reçu cet article d'un ami et j'ai décidé de le publier sur mon blog pour en faire large diffusion, car si ces informations s'avéraient exactes, ce serait un signe de plus de la qualité de vie qu'imposent certaines âmes malveillantes au peuple camerounais qui est déjà meurtri par la corruption, la pauvreté, le tribalisme et d'autres maux dont aucune liste, ni aucun mot ne serait assez fort pour décrier.

"Les temps sont  mauvais, prenez garde  

Afrique, terre de Cobaye pour les industries pharmaceutiques   

 

FAIRE LARGE DIFFUSION S'IL VOUS PLAIT AUTOUR DE VOUS C'EST VRAIMENT HALLUCINANT COMME BÊTISE HUMAINE ! ! ! !
MIEUX VAUT LE SAVOIR ET FAIRE ATTENTION QUE DE L'IGNORER  


Il est presque minuit, et nous venons de visualiser un reportage hallucinant sur la deuxième chaîne de télévision française.  Depuis le mois de Septembre 2004 un laboratoire américain du nom de GEDEAD s'est implanté au CAMEROUN à Douala pour (officiellement) tester un médicament 'préventif' du nom de VIREAD sur des jeunes camerounaises saines c.à.d. SERONEGATIVES! !

A raison de 4 Euros par mois + des examens médicaux gratuits et une promesse de prise en charge en cas de contamination, les filles sont encouragées à n'avoir que des rapports sexuels non protégés avec des partenaires multiples. On leur ment que ce fameux
VIREAD les protège, que c'est un vaccin et qu'elles ne pourront plus jamais être contaminées.  En plus, elles auront contribué au progrès de la science!!!!

Le but (toujours officiel) de cet essai est justement de voir si le fameux
VIREADprotège. Donc après avoir absorbé cette pilule sans du tout savoir ce qu'elle contient, les filles sont livrées à la nature et reçoivent 4 Euros par mois lorsqu'elles viennent se faire tester mensuellement pour le SIDA et pas pour les autres MST tout aussi graves comme les hépatites et autres maladies virales...

(Officiellement), 400 filles volontaires qui ne sont pas informées du tout ont ainsi été recrutées par un camerounais ayant reçu une somme de 800 000$ de ce labo américain. Beaucoup de ces filles ayant déjà été contaminées, ont été purement et simplement abandonnées dans la nature (témoignage à l'appui).


A mon avis la mission secrète ciblée est simplement de continuer à propager le sida, déjà terriblement élevé chez nous. Ne pouvons-nous pas dire qu'il s'agit ici d'un crime contre l'humanité ? Inoculer un virus de sida à Douala à des prostituées ne manque pas de stratégie. Douala est la plaque tournante du Cameroun. Ce n'est qu'une histoire de temps avant que ce virus ne se répande dans tout le pays.


Un responsable du ministère de la santé déclare sans aucune crainte de choquer que son poste a été crée après l'implantation de ce laboratoire.  Donc il n'a pas pu empêcher cela et il ne peut interdire ce test. VOILA. 

De tels tests se passent actuellement dans plusieurs pays pauvres tels que Haïti, Jamaïque, République Dominicaine, Cambodge et d'autres pays africains,
> nous avons vu la République centrafricaine par exemple... On a parlé de 10 pays sans les citer tous explicitement. ..


Nous crions de douleur face au sentiment d'impuissance qui nous envahit devant notre petit écran d'ordinateur.

La seule réaction que nous puissions avoir est d'envoyer ce mail à tous ceux dont nous connaissons l'adresse électronique. Si vous ressentez la même chose que nous, nous vous prions d'envoyer ce mail à tous ceux qui vous sont chers... Peut-être arriverons-nous à informer un grand nombre de personnes...

Faites attention à vous et sensibilisez vos familles!"

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19 décembre 2010 7 19 /12 /décembre /2010 14:20

C'est la vie. Vive la langue française.

 

 

Bonjour mes Amis

Vous vous souviendrez que c'était un soir, en fin de semaine et du cours: la leçon  de grammaire.

 Je ne suis pas misogyne, mais c'est curieux de voir comment ceux qui créent les mots et qui leur attribuent des genres en ont après les femmes. Quand on sait comment elles sont traitées aussi bien dans la bible que dans le coran, c'est croire que malgré les textes de loi votée et signée en leur faveur, elle ne sont prêtes d'avoir une considération des hommes.
 
Voici UNE leçon de grammaire peu amusante surtout pour la gent féminine: 
 
Pourquoi, dès que c'est UNE galère, c'est tout de suite au FEMININ ?
 
LA pluie, LA neige, LA grêle, LA tempête, tout ça, c'est pour 
les  FEMMES! 
 
Les hommes, c'est LE soleil, LE beau temps, LE printemps, LE
paradis! Les femmes n'ont vraiment pas de chance : LA vaisselle, LA cuisine, LA bouffe, LA poussière, LA saleté, LA balayeuse.
  

Les hommes, c'est LE café dans LE fauteuil avec LE journal en regardant LE foot et ça pourrait être LE bonheur, et si les femmes ne venaient pas semer LA  discorde et LA chicane.

 
Pour retrouver LE calme, je crois que les femmes devraient laisser LE genre décider. 
Elles peuvent regarder LA télé, les femmes choisissent LE poste. Même si LA télécommande appartient aux femmes, les hommes ont LE contrôle. Mais ne voyez aucun sexisme là-dedans, oh non! 


D'ailleurs, entre parenthèses je vous signale que LE mot sexe n'a
 pas de FÉMININ. FEMME.Par définition,

LE plaisir est donc pour les HOMMES.  


D'ailleurs dès que c'est sérieux, comme par hasard, c’est tout de  suite au MASCULIN : On dit UNE rivière, UNE marre d'eau mais on dit UN fleuve, UN océan. On dit UNE trottinette mais UN avion à réaction!   Et quand il y a UN problème dans UN avion, c’est tout de suite UNE  catastrophe. C'est toujours  la faute d’UNE erreur de pilotage 'UNE panne d'essence, d’UNE mauvaise visibilité, bref toujours à cause d'UNE connerie.
 
Et alors là, attention mesdames, dès que LA connerie est faite par
UN homme ça ne s'appelle plus UNE connerie, ça s'appelle UN impondérable.   Enfin, je pense que les femmes devraient faire UNE pétition. Et il  faut faire très vite parce que leur situation s'aggrave de jour en jour.   Y'a pas si longtemps, elles avaient LA logique, LA bonne vieille logique FÉMININE. Ça n'a pas plu aux hommes, alors, on a inventé LE  logiciel.


 Mais elles ont quand même quelquefois des petits avantages:   
 
 Les hommes ont LE mariage, LE divorce; nous avons LA pension, LA maison.
 
Les hommes ont LA carte de crédit, ils ont LE découvert.   Mais en
 général, LE type qui a inventé


 LA langue française n'aimait pas beaucoup les femmes.
 
 Tout vient de lui; TOUT

D'ailleurs, le port du pantalon par les femmes reste interdit en France. Allez savoir!!

 
On ne dit pas LA sexe mais bien LE sexe d'une 
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19 décembre 2010 7 19 /12 /décembre /2010 14:17

Fédération Camerounaise de Football

Décidément, rien n'est jamais assez pour le Cameroun et sa fédération de football. Les gens se sont tellement inscrits dans la logique de népotisme, de clientélisme, de favoritisme, d'ethnocentrisme, de corruption et de recherche effrénée du moindre pécule dans ce pays, qu'ils auraient complètement oublié le sens, le bonheur d'un pays et de son peuple entier. Comment comprendre qu'avec la débâcle et la très honteuse 31eme place sur 32 obtenue à la dernière coupe du monde en Afrique du Sud, les autorités footballistiques camerounaises en soient encore à tergiverser sur le prochain coach, pire encore à se substituer à Jacques Songo'o, intérimaire depuis le départ de Paul Le Guen pour convoquer les joueurs à l'occasion  d'un match amical.

Tout porte donc à croire qu'au Cameroun, on ne retient jamais les leçons, on prend toujours les mêmes et on recommence. Pendant que les pays comme le France ou l'argentine, des pays dits normaux s'attellent à reconstruire leur équipe nationale et par la même le prestige de leur football, le Cameroun continue à détruire le sien. il faut croire que nous n'aimons véritablement pas notre pays.

La Corée du nord quant à elle a choisi une voie plus ridicule, celle d'humilier son sélectionneur publiquement et de le condamner à 14 heurs de travaux forcés par jour. Bien que ridicule et véritablement inhumaine, cela témoigne d'une volonté, même folle, de voir son pays briller.

Nous, nous avons choisi de voir le notre sombrer. Ceci dénote parfaitement de la façon même qu'est dirigé le Cameroun au plus haut niveau. Un grand bazar.

Drôle de pays quand même. Quand ce n'est pas le président de la république qui engage un sélectionneur, c'est son épouse qui essaye d'imposer un entraîneur pris dans un tourbillon familial ou pire encore ce sont les responsables de la fédération qui décident de rayer certains joueurs de liste du sélectionneur par intérim et mettre les leurs. il faut dire qu'il y a encore tellement de choses à mettre dans les têtes de ces gens. Peut-être devrions-nous revenir à une certaine époque que je préfère ne pas citée pour ne pas heurter la sensibilité des pseudos nationaux.

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19 décembre 2010 7 19 /12 /décembre /2010 14:16
Joseph Antoine Bell

Dans une tribune publiée sur un site internet, j'ai lu que Joseph Antoine Bell ( jojo pour les intimes) "serait en ballottage défavorable" en ce qui concerne la succession de Paul Marie Le Guen à la tête de l'équipe nationale du Cameroun. A en croire à la même tribune, la cause serait un opposé par la fecafoot, Fédération Camerounaise de Football. A première vue, rien d'exceptionnel, mais cette tribune m'a conduit à réfléchir sur la réelle implication de la première dame dans ce dossier, comme je le disait déjà dans un autre article dans ce même blog. Voilà une illustration parfaite d'un pays dont les dirigeants se sont juré, promis de paupériser, de laisser exsangue avant leur départ. Cinquante années  d'indépendance et il faut toujours aller chercher les entraîneurs dont les compétences laissent à désirer dans les contrées lointaines avec les résultats qu'on sait.

Je suis vraiment peiné de voir qu'une gloire de l'équipe nationale du Cameroun, double vainqueur de la coupe l'Afrique des nations, ancien capitaine de l'équipe nationale, l'un des joueurs Africains des trois dernières décennies les côtés aussi bien sur le plan national d'international n'ait pas la confiance des autorités camerounaises. On lui reproche son franc parlé et ce qu'ils appellent sa "grande gueule". Il n'y a qu'au Cameroun que, avoir du mérite et du talent reste un pêché. Il n'y a qu'au Cameroun qu'être respectable et intelligent constitue un crime de lèse majesté. Il n' y a qu'au Cameroun que la première dame décide de qui sera le sélectionneur de l'équipe national. Nous sommes véritablement entrés dans une dangereuse phase de despotisme. Il est peut-être temps pour les populations camerounaises de sortir de leur calme légendaire que ces gens (les autorités) assimilent à tort à la faiblesse.

Get up stand up

"Un seul mot à Paul biya et sa bande de kleptocrates: continuez
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19 décembre 2010 7 19 /12 /décembre /2010 14:16
Parti des flammes

Aujourd'hui plus que jamais, le Cameroun est ravagé par un terrible incendie allumé et nourri par les pontes du parti aux flammes. Après avoir brûlé les mains qui les tenaient, celles des anciens du Cameroun, c'est le flambeau dans lequel elles ont été allumées qui fond aujourd'hui sous la chaleur de ces flammes. il s'agit de la jeunesse camerounaise. L’heure est donc venue aujourd'hui pour nous les jeunes, de prendre les choses en main afin que nous ne fondions définitivement.

Nous n'avons pas le droit de condamner nos enfants à vivre dans un Cameroun exsangue, dans un Cameroun sans espoir, dans un Cameroun clochardisé par le lion de Mvomeka et sa bande de charognards.

Ne laissons pas ces assoiffés de notre sans nous prendre ce qui nous appartient.

Comme un seul homme disons non à ce système de ripoux de et fossoyeurs

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19 décembre 2010 7 19 /12 /décembre /2010 14:13
Chantal Biya : Soif de pouvoir, d’existence ou dérive autocratique?
Dans n’importe quel pays du monde, cela aurait pu être un scandale ou encore une grave ingérence de la première dame dans les instances dirigeantes du football, mais, au Cameroun, ce triangle de 475 442 km2, dit Afrique en miniature et classé vingt-troisième plus grande dictature au monde, c’est un fait divers comme les autres. Dans le site Yahoo actualités et dans plusieurs chaines de télévision étrangères (France 24…), tout le monde pouvait  lire ce soir « Cameroun: Matthäus recalé à cause de ses problèmes de couple ». À première vue, ce titre n’a rien d’étonnant, mais quand on lit la suite, on se rend vite compte de la gravité de la situation.
En effet, Chantal Biya, première dame du Cameroun qui s’illustre aussi bien sur la scène nationale  qu’internationale, par ses frasques, son exubérance et son style plutôt dévergondé que par son action dite humanitaire, allant des ONG aux associations diverses :
Présidente de l’OFRDPC, (section féminine du RDPC, parti de son illustre mari).
Président des Synergies africaines (ONG qui lutte contre le sida et les exclusions de tout genre).
Présidente du Cerac : cercle des amies du Cameroun (association qui regroupe les femmes des ministres et autres dignitaires du régime qui ponctionnent inlassablement le pays).
Non satisfaite de tout ce qui précède et d’autres faits non énoncés ci-dessus, la  dame du vingt troisième plus grand dictateur au monde aurait décidé de prendre les choses en main, après le choix avéré mauvais de son époux : celui de Paul Le Guen en qualité de sélectionneur du Cameroun. C’est ainsi qu’elle a décidé de choisir elle même le prochain sélectionneur des lions indomptables. « Ces photos ont été comme un coup de poing en plein visage. Dès que je les ai vues, j'ai perdu la foi. Sur le terrain, j'ai toujours lutté mais cette partie-là, je l'ai perdue. Il ne peut pas y avoir d'avenir avec une femme qui se comporte ainsi. Je ne serai donc pas l'entraîneur du Cameroun. La femme du président camerounais qui me voulait à tout prix a appris la nouvelle de ma crise conjugale et a refusé que je dirige la sélection » cette phrase du tacticien allemand en dit long sur ce qu’est devenu le football camerounais et les personnes qui le dirigent. C’est avec une grande consternation, une stupéfaction et une émotion gargantuesques qu’on constate  que les leçons de la débâcle camerounaise à la dernière coupe du monde de football n’ont pas été tirées et que le Cameroun tangue dangereusement vers les abimes d’une république bananière. S’il est vrai que depuis quelques jours, cette immixtion de la première dame du pays dans les affaires sportives était sur toutes les lèvres dans les villes du pays, comment comprendre que ce soit maintenant la première dame d’un pays qui choisisse qui doit être entraineur de l’équipe nationale ou pas ? Quelles aptitudes a-t-elle pour cette entreprise ? A ces questions aucune réponse ne saurait satisfaire la curiosité des camerounais qui se sentent de plus en plus pris dans une spirale dont seule la nature pourrait les sortir.
Une chose est certaine, en essayant de substituer au ministre de sports et de l’éducation physique et à la fédération camerounaise de football, Chantal Biya pose là les jalons de ce qui semble être désormais un périple vers des aventures improbables. Peut-être bien dans les jours à venir, c’est aussi elle qui recrutera les enseignants dans les universités, nommera et révoquera les ministres et bien plus encore. Si pendant longtemps, Paul Biya s’était plutôt montré distrait sur ses intentions et son aptitude à diriger le pays, on commence aujourd’hui à comprendre pourquoi il a élu domicile en Suisse et pourquoi le Cameroun est parti de pays en voie de développement à pays pauvre très endetté. Et peut-être bien qu’après Chantal son épouse, ce sera au tour de Franck, junior ou encore Brenda de nommer les sélectionneurs de l’équipe nationale du Cameroun.
« Un seul mot : continuez »
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